« L’autoroute est un monde clos défini par la nécessité, les contraintes corporelles, un ensemble de comportements codés. Et nous voilà surpris par un vague sentiment de vide. Marion Gambin traque cet « entre-deux », un point singulier de l’espace et du temps. Il est ce moment où les gens trébuchent en eux-mêmes. L’opérateur photographique est en quête de cet événement quand le regard se perd non dans le paysage mais dans cet objet inqualifiable, l’introspection. Ce n’est pas qu’ils soient maussades ou s’ennuient même. L’humeur de ces gens est incertaine. Dans la tradition respectée de l’histoire de la peinture et du romantisme, les images de Marion Gambin tentent de capter les ombres et les fantômes qui nous habitent. »
François Cheval
« L’autoroute est un monde clos défini par la nécessité, les contraintes corporelles, un ensemble de comportements codés. Et nous voilà surpris par un vague sentiment de vide. Marion Gambin traque cet « entre-deux », un point singulier de l’espace et du temps. Il est ce moment où les gens trébuchent en eux-mêmes. L’opérateur photographique est en quête de cet événement quand le regard se perd non dans le paysage mais dans cet objet inqualifiable, l’introspection. Ce n’est pas qu’ils soient maussades ou s’ennuient même. L’humeur de ces gens est incertaine. Dans la tradition respectée de l’histoire de la peinture et du romantisme, les images de Marion Gambin tentent de capter les ombres et les fantômes qui nous habitent. »
François Cheval